VIII
Est-ce Shakespeare ? Mais lui aussi, dans sa soif inextinguible pour le parfait et l’achevé, a vécu l’imparfait et l’inachevé de l’homme comme une tragédie insupportable ; il a conduit l’homme vers les mondes d’en-haut pour l’abandonner sur les routes ébloui et consterné. En conséquence, lui aussi n’est pas l’homme parfait et achevé.
père Justin Popovitch dans "L'Eglise orthodoxe et l'œcuménisme" (extrait)
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