Alors tu commenceras à vivre vraiment, plein de force angélique, de joie et d’amour. La pluie qui porte la joie de la miséricorde de Dieu t’arrosera. Tu entendras le murmure divin qui t’embrasera et tu marcheras dans un cortège de lumières. Tu seras heureux et tu grandiras comme les arbres plantés près d’un courant d’eau. Ton cœur brûlera d’un amour ardent. Ta volonté sera la volonté du Seigneur, et tu ne sauras pas que tu as perdu ta propre liberté. Car ce que les hommes de ce monde appellent liberté n’est que servitude. Nuit et jour, tu méditeras dans la joie la Loi de Dieu.
Tu seras bienheureux. Tes blessures seront guéries. Tu rajeuniras comme l’aigle, qui le matin étend ses ailes au-dessus des rochers et des gorges sombres où séjourne la génération perverse des adorateurs de l’homme, de ceux qui ont divinisé l’homme et ses passions, qui sont sourds à la voix puissante du ciel qui crie par la bouche d’Osée : « Nul autre que Moi ne peut te sauver… » et aussi : « Il n’y a pas d’autre Sauveur…»
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire