Le Christ n’est pas le principe du Bien mais le Bien incarné. C’est pourquoi dans les conflits tragiques de l’existence, au comble d’une profonde souffrance ou solitude, les « principes » moraux et sociologiques sont impuissants. Ils n’ont pas le pouvoir de dire à un paralytique « lève-toi et marche ! » Ils ne peuvent rien pardonner ni absoudre, rendre la faute inexistante ou ressusciter un mort.
Paul Evdokimov dans "Les âges de la vie spirituelle" p.150
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