Dans la liturgie syriaque, on entend saint Pierre qui empêche le larron d’entrer au paradis : « Vraiment, tu en as trop fait, la porte restera close. » Mais l’autre, saisissant la croix qu’il porte sur sa poitrine, écarte Pierre en disant : « Voici la clé. C’est elle qui me permet d’entrer. »
Olivier Clément dans "Christ est ressuscité, Propos sur les fêtes chrétiennes" p.43
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